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Lazarus, ou les prémices d'un désastre...

 
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Lazarus
Tatayoyoteur

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Inscrit le: 21 Mar 2010
Messages: 16
Nom du personnage: Lazarus
Classe: Guerrier
Spé: Fureur
Localisation: Huy
Masculin

MessagePosté le: Dim 21 Mar - 12:25 (2010)    Sujet du message: Lazarus, ou les prémices d'un désastre... Répondre en citant

[PROLOGUE]

Voici pour situer mon histoire, mon present...

Nous voici en l'an 624, en plein Azeroth qui est le berceau de la magie, des mythes et legendes, des lutins et autres farfadets qui peuplent les Terres d'Azeroth. Nom amer pour un si joyeux coin de paradis. Je m'appelle Lazarus, fils de Lior et de Akara, j'ai un frère cadet nome Izual et une soeur, la plus petite de la famille, Natalya...

Depuis la nuit des temps, les hommes, guerriers, soldats, barbares, Elfes, Militaires, Politiciens, se battent pour des idées, des philosophies, de l'argent, des profits, mais aucun jusqu'ici n'avait osé, aucun jusqu'ici, n'en avait eu le courage, ni la passion... Le courage de se battre pour ses propres valeurs.


[RECIT PREMIER]



Mon récit est étrange, pas seulement par les faits mais également par les personnes importantes que j'ai pu rencontrer dans ce monde. Nous voici dans un coin reculé d'Azeroth, les villes commencèrent à se rappeler des bons jours, de la joie et paradoxalement on commençait à voir apparaitre un nouveau Roi Liche et une lente contamination du continent Nordique de Norfendre. Je m'appelle Lazarus, je suis un Chevalier depuis peu, pas un chevalier comme on l'entend, plus un mercenaire, un homme de guerre de ma cité. Je suis donc Chevalier grâce à mes efforts, à ma loyauté et à mon courage face aux évennements tragiques qui se sont abattus sur la région. Je vis une existence paysible avec mon frère Izual, et ma petite soeur Salsyan. Nous sommes le jour de la fête de la Lune, le jour où chacun apporte ses louanges à la Déesse de la Nuit, Hybra. Cette dernière offre les rêves et réalise les voeux les plus fous.

Loin de l'agitation de la ville, j'étais près de la barrière de rose, chez moi, à Suid, non loin de la plaine des barbares de Sarkist, là où vivent de valeureux guerriers sans peur et dont le cri peut transpercer toute armure, et même parfois, les âmes. Nous sommes un peuple un tragique destin, du moins, notre sombre passé à décidé de notre caractère.. Nous sommes de valeureux guerriers axés sur les valeurs plus que que sur la force, ce qui nous différencie de certaines espèces de ce monde. Nous vivons reclus du désastre et de la guerre tant que nous n'y sommes pas contraint.. cependant... la vie en a décidé autrement.Pour en revenir à mon histoire, j'étais en ville mais ne voulu pas me mêler à la foule, ce n'est pas que je sois solitaire mais mes idées sont mes principes. Je ne dois pas forcer mais créer mon destin, mon avenir, je suis le seul maître de ma vie, et si je souhaite quelque chose, je ferai tout ce que je dois faire pour l'obtenir, je préfère donc être seul, du moins pour le moment.

Je m'en alla donc dans la forêt de Troeya afin de me resourcer. En effet, depuis la dernière guerre qui nous opposa aux monstres et barbares du seigneur Adreqq, j'y trouvais un certain refuge et une certaine paix intérieure... Les horreurs de cette sanglante bataille hantaient mes nuits, et même le jour, je ne pouvais oublier les cris de peur et de souffrance des innocents. La folie m'engloutirait si je n'avais pas de but. Et mon but est de servir mon peuple, au nom du défunt Roi Télénas. Les arbres atteignent des hauteurs incommensurables et les branches touffues de feuilles nous protègent de la chaleur du soleil. Mais la nuit, elles me cachent des dieux, et je puis réfléchir à notre monde sans craindre d'être écouté ou jugé. C'est pour cette raison que je viens seulement la nuit voir mon frère, Tolrhik, dont la tombe est située près de l'arbre horsiforme. Mon frère est mort en héro, en chevalier durant la dernière bataille. J'admire sa bravoure et sa détermination face aux dangers. Il nous a quitte trop tôt... Il m'a quitte trop tôt.

Après quelques minutes de recueillement, je retourna dans le brouhara de la cite.
- un villageois: "Mais où étais tu Lazarus, nous t'avons cherche partout?!"
- Lazarus: "Je ne me cachais pas pourtant.."
- un villageois: "Hahaha nous ne te comprendrons jamais Laz!!"
- Lazarus (rebroussant chemin): "sans doute, oui.."
C'est vrai qu'ils ne pouvaient pas comprendre, moi seul ainsi que les autres chevaliers connaissons les horreurs passes, enfin.. Ils comprendront un jour.

Je rentra chez moi retrouvant mon frère, ma soeur et ma mère, Akara. Ma mère m'admirait car je ne fut pas blesse une seule fois durant la guerre, du moins, aucun ennemi n'a verse goute de mon sang, est-ce pour cela que je suis un héro aux yeux des villageois? Je ne sais pas mais ma mère est fière de moi et c'est le principal. Mon père est mort durant cette guerre, ce fut une perte douloureuse pour ma mère qui dut nous élever tout les trois, malgré la récente blessure qui animait son coeur. Je l'admire pour cela et l'aide de mon mieux. Ma mère ajoutait des buches de bois sec dans le feu ouvert quand un bandit voulu défoncer la porte, il avait surement senti la bonne odeur de viande qui cuisait sur le feu. Il rentra a coup de hache dans la porte pour enfin se retrouver face à moi. Il n'a pas hésité une seconde avant de m'attaquer, il voulait me trancher avec sa hache, mais sans succès, je reculais toujours et lui porta un coup de poing. Il recula et pri mon frère avec la hache sous la gorge en me disant de le laisser et de se mettre sur le côte. Je devais me résigner, j'ai déjà perdu un frère, je ne veux pas perdre le second. Je me plaça sur le cote, il s'avança près de moi et m'a dit "pathétique" en m'acenant un coup de hache dans la poitrine. L'homme a recule comme s'il avait vu le seigneur Adreqq en personne, un regard glace par la peur, il a recule, a lâché sa hache et couru vers la forêt en s'écriant, "UN MONSTRE, C'EST UN MONSTRE!!!!!" Je ne comprenais pas, je n'ai pas souffert à son attaque, quand j'ai touche mon torse pour sentir la plaie, mon corps n'avait rien. Mais j'ai regarde d'un peu plus près, on aurait dit que ma peau était... comment dire... écailleuse, comme si ma peau était faite en écailles de poisson microscopiques, je n'avais jamais pris attention a ce detail auparavant. Ma peau s'enlevait au niveau de la blessure du bandit. Je n'en cru pas mes yeux, tout comme ma famille, sauf ma mère qui restait fermee, son visage sans expression. Sous ma peau se cachais une armure, plutôt un squelette de metal, on aurait dit une armure pour mes os et organes. Une peau de metal...

Ma mère s'approcha de moi et me dit :"Il est temps mon garçon". Nous sortiment de chez nous pour arriver près de l'entree de la forêt. "Mais que se passe t-il" lui demandais-je. Ma mère ne repondait pas. Elle s'avança vers un arbre pour en toucher l'ecorce comme pour demander la force des esprits de la nature pour avoir le courage de m'annoncer son lourd secret.
- Lazarus: "Ne me laisse pas languir d'avantage! Quel est ce corps, ce n'est pas le mien?!"
- Akara: "Si, ce corps est le tiens, et cela depuis de longues annees".
- Lazarus: "Je ne comprends pas... Qui...ou, que suis-je?"
- Akara: "Tu es mon fils et cela pour le restant de ma vie". Elle se retourna et me fixa un moment...
- Akare: "Je t'ai trouve ici, dans cette forêt, à cet endroit même, sans habit, nu comme un vers attendant que le froid de l'hiver t'emporte. Je t'ai pris sous mon aile et t'ai nourri et eleve comme mon propre enfant".
- Lazarus: "Je...
Un grand silence s'en suivi de quelques pas
- Lazarus: "Et que signifie cette peau qui ne tient pas sur un corps qui me semble étranger?"
- Akara: "Je ne sais pas plus que toi sur cette armure à l'interieur de ton corps, j'ai juste ce collier qui était autour de ton frêle cou quand je t'ai trouvé cette nuit là".

Sortant de mon gambison ce collier qui me poursuit donc depuis ma plus tendre enfance... Ce fut un eternel face à face avec le seul objet qui pourrait m'apprendre d'où je viens...

- Lazarus: "Je vais partir", Akara lève la tête pour regarder son enfant, "Je dois savoir qui je suis vraiment".
- Akara: "Je comprends ton envie, ton besoin. Je ne te retiens pas mon fils, trouve qui tu es, je t'attendrai".
- Lazarus: "Je..." Akara le coupant dans son elan
- Akara: "mais avant! viens dormir, reprends des forces mon cheri". Akara tend les bras à son fils qui s'approche et la prends dans ses bras.
Ils retournèrent à l'interieur et petit à petit, les lumières de la cite s'eteingnent une à une... 

_________________
Le Roi galope

Repoussant les ombres
Faisant cliqueter son armure
Faisant voler les os
Avalant la chair
Grinçant des dents
Ecrasant les coeurs

Il va seul
Vers un horizon Lointain"


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